Au fin fond de la montagne, perché sur le plus au versant, un foret de conifères, des arbres gigantesques d’une dizaine de mètres obscurcissent les alentours. Le lieu n’était pas très rassurant, la terre avait été retournée comme si un sanglier était passé par là il n’y a pas très longtemps. Un vent glacial soufflait entre les branches des arbres. Au loin on croirait entendre des aboiement de chiens ou peut être même de loups. Par un jour de pluie battante, vous errait dans cette forêt sans but précis, vous marchez sans doute depuis plusieurs heures, vos vêtements sont trempés, vous avez froid, faim et soif. La pluie ne semble pas cessé mais au loin vous apercevez une clairière ; vous avancez à pas plus rapide, vous arrivez bientôt à la tant entendu clairière. Ici se dresse une vieille maisonnette qui semble à l’abandon, les murs sont fait de pierres et le toit est en paille. Vous entrez, cela vaut mieux que de rester dehors sous la pluie. Vous poussez la porte et la vous découvrez que ce n’est pas une bâtisse abandonnée mais c’est en réalité une auberge bondée de gens de passage, d’habitants du village voisins. Une longue table trône au beau milieu de l’auberge, sur votre droite, le bar en bois, sans doute très vieux. Au plafond, des lampes délabrée accrochées sordidement. Une drôle d’ambiance ressort de la pièce, vous commandez une boisson et allez vous asseoir à la table pour faire connaissance.